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Åsa Sjöström

La Haute Côte suédoise, cette belle inconnue

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Publié le 04 septembre 2015 à 14h48, modifié le 07 septembre 2015 à 10h35

Temps de Lecture 1 min.

Quiétude, douceur de vivre… La Haute Côte est conforme à l’image d’Epinal que l’on se fait de la Suède. Ses villages, avec leurs façades rouges, noyés dans la nature, ont des allures exotiques mais on a pourtant l’impression de les connaître par cœur. Il est temps de passer du mythe à une réalité qui s’en rapproche incroyablement.

Très attachés à leurs racines, les Suédois sont nombreux à retourner chaque été profiter du soleil de minuit dans les cabines de leurs villages d’origine, le long de la Haute Côte (Golfe de Botnie), dans l’est de la Suède. Une robinsonnade pendant laquelle ils s’immergent dans ce littoral sauvage mais bienveillant, méconnu hors des frontières du pays. Ils s’y retrouvent à toutes heures du jour et de la nuit, lorsque le soleil refuse d’aller se coucher, pour le fika, ce moment de convivialité où l’on accueille ses amis à l’improviste avec un gâteau et des boissons toujours prêts à être servis…

Le minuscule village de pêcheurs de Bönhamn noyé dans la brume.

Cet immense jardin se laisse découvrir en voiture le long de routes qui serpentent à travers champs, bois et villages typiques, et longent une myriade de lacs tous uniques… Guidé par le regard de la photographe Åsa Sjöström, qui connaît tous les sentiers et a saisi ces fika, moments de pauses-café conviviaux. De ces voyages est né un travail imprégné d’empathie.

Plus de photographies d'Åsa Sjöström sur www.asasjostrom.com

 

Sur la petite île d'Högbonden, au large du village de Bönham.

 

Vue sur la mer Baltique depuis l’île d’Högbonden. Un plaid et un thé brûlant sont indispensables pour profiter de la terrasse.

 

La côte découpée et sauvage est le théâtre d’une vie animale fourmillante.

 

Le long des routes, les fleurs sauvages envahissent les champs.

 

Blanc, rose, bleu, violet… le lupin est l’espèce la plus répandue de la Haute Côte.

 

Le charme du vintage… Ici, même les maisons les plus simples sont entretenues.

 

Le Skuleberget est le point culminant de la Haute Côte, classé au Patrimoine mondial de l’Unesco. On peut y accéder par un télésiège.

 

 

L’économie du bois a fait la richesse de la région. Ici, des grumes (troncs) de sciage à Örnsköldsvik.

 

Chambre avec vue à l’hôtel-restaurant Sågverket.

 

Eboulement sur l’île d’Högbonden. La Haute Côte est la région où le rebond post-glaciaire a été le plus important, un phénomène qui se poursuit au fil du temps.

 

La région compte 52 villages et autant de lacs…

 

Départ pour la pêche.

 

L'île d'Högbonden, bonheur des géologues…

 

 

 

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