La partenaire de Yann Moix dans l’émission de Laurent Ruquier, diffusée le samedi soir sur France 2, multiplie les clashs avec les politiques.
20 mai 2017 : corrigée par Najat Vallaud-Belkacem
Ce soir-là sur France 2, l’ex-ministre de l’éducation nationale a éclaté de rire en écoutant la chroniqueuse lui reprocher d’avoir réformé l’orthographe durant son passage rue de Grenelle. « Un enfant sur quatre qui ne sait pas lire et écrire rentre en sixième. (…) J’ai vu la réforme de l’orthographe, ça m’a atterrée. » « Vanessa, Vanessa, l’a interrompue l’ex-ministre. Je n’ai jamais mené de réforme de l’orthographe, c’est une fake news. »
25 février : parodiée par Philippe Poutou
Face au candidat à la présidentielle du NPA, la journaliste bute sur une question. Alors qu’il s’agit de lui demander comment il entend interdire aux patrons les licenciements, elle répète à plusieurs reprises : « Comment on oblige un patron à interdire les licenciements ? » Les chroniqueurs éclatent de rire. La séquence, interminable, a été parodiée par Philippe Poutou dans son clip de campagne.
28 janvier : vexée par Rama Yade
« Pourquoi vous vous présentez alors que vous savez que vous avez zéro chance de gagner ? » Cette question n’a provoqué qu’un haussement de sourcils de Rama Yade, qui lui a répondu en citant Albert Camus : « Comme disait Camus, la bêtise insiste toujours. » Le ton est alors monté. La journaliste a rétorqué, furieuse : « Me prenez pas pour une idiote. Vous êtes absurde. Comme votre candidature, elle est absurde. »
7 janvier : snobée par Vincent Peillon
Alors candidat à la primaire de la gauche, M. Peillon est invité à indiquer quelles centrales nucléaires il propose de fermer. L’ancien ministre répond qu’il n’en sait rien. Qu’il envisage de s’adresser à des ingénieurs. La chroniqueuse attaque : « A chaque fois qu’on vous pose une question, vous ne répondez jamais concrètement ! » Médusé, Peillon répond : « Les gens qui sont dans la posture ne m’intéressent pas. »
27 août 2016 : excédée par NKM
La colère, marque de fabrique de Vanessa Burggraf. À la fin de l’été 2016, Nathalie Kosciusko-Morizet est toujours à la recherche de parrainages pour se lancer dans la primaire de la droite et du centre. Elle suggère qu’elle n’imagine pas une seconde ne pas les obtenir. La chroniqueuse s’emporte : « Ça, c’est pas possible, ça, on ne vous croit pas. » Et poursuit : « Elle nous ment ! Elle nous ment ! »
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