« Ah bon, c’est ton premier Stunfest ? », la question, rituelle, est toujours posée avec un brin d’étonnement, et s’accorde toujours à la deuxième personne du singulier.
Comme si on s’étonnait qu’un passionné de jeu vidéo puisse avoir vécu si longtemps sans y avoir mis les pieds. Plus qu’un festival, ce salon du jeu vidéo, dont la quatorzième édition se déroulait du vendredi 18 au dimanche 20 mai à Rennes, a des allures de fête de famille.
Une fête de famille où se retrouveent chaque année quelques milliers (« entre 2 000 et 4 000 par jour », selon les organisateurs) de cousins et cousines, unis non par les liens du sang, mais par une certaine vision, alternative, festive, un peu punk, du jeu vidéo.
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